Parfois on croit être blasé et d’un coup, on ouvre un oeil attentif devant une énième annonce de nouveauté vidéo ludique. No Man’s Sky est promoteur, étonnant et graphiquement à la hauteur. Dans un Open Space massivement multi-joueurs d’une grandeur inégalée, vous pourrez explorer des dizaines de milliers de planètes uniques, naviguer dans l’espace …
No Man’s Sky de l’open World à l’open Galaxy !
On nous annonce un voyage titanesque dans des mondes générés de manière procédurale : habitants, faune, flore, ressources. Entre les planètes, vous interagirez avec les fédérations/confédérations spatiales, vous pourrez acheter/vendre vos ressources, combattre des bandits de l’espace ou des planètes belliqueuses…
C’est quoi la génération procédurale ? C’est un terme barbare inspiré de l’anglais « procedural generation » qu’on retrouve dans le monde du design de jeux vidéo. Il s’agit de systèmes permettant de générer du contenu à la volée et à grande échelle de façon automatisée à l’aide d’algorithmes puissants.
Le meilleur exemple actuellement : Diablo III Reaper of Souls où le mode Primes et Aventures est généré aléatoirement, maps aléatoires, monstres aléatoires, loot aléatoire bien sûr. Oui vous l’auriez sans doute deviné en lisant le reste de l’article mais bon 🙂
L’idée derrière ce Game design, c’est la SF des années 70, la découverte de mondes nouveaux, résoudre les questions de communication entre espèces. A l’origine du projet, une équipe de 4 passionnés qui ont levé un kickstarter de 2 millions de dollars.
Un Game design tourné vers la SF des années 70
Le jeu sortira sur PS4 cette année si tout va bien puis dans les mois qui suivront sur PC. Passons aux vidéos diffusées à l’E3, elles envoient du bois, espérons que le rendu final sera de cette qualité (depuis watch dog on les connait les magouilles des éditeurs hein … ).
Bref wait and see mais c’est alléchant.
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